Lancé officiellement le 10 avril à l’occasion d’une représentation de Tannhaüser à l’Opéra du Rhin, le cercle Richard Wagner junior de Strasbourg s’est créé en s’appuyant sur le réseau culturel universitaire. Un coup de jeune pour la musique de Wagner ?
En 1871, le premier cercle Richard Wagner est créé en Allemagne, plutôt comme une association de défense des œuvres du compositeur. Tout au long du 20e siècle, les cercles se multiplient en Allemagne et évoluent pour devenir des cercles d’amateurs d’opéra et de chant lyrique. Le premier cercle français est créé en 1965 à Paris, c’est le premier cercle non allemand. Le cercle strasbourgeois est créé dans les années 1980.
Ils sont fédérés au sein d’une union internationale (le Richard-Wagner-Verband International), actuellement présidée par Eva Märtson. « Madame Märtson constate avec dépit la moyenne d’âge élevée et la sociologie très aisée des cercles Richard Wagner, explique Mathieu Schneider, directeur du Service d’action culturelle de l’Unistra et par ailleurs musicologue. Elle estime que cela nuit à l’image de la musique de Wagner, et considère que les jeunes qui aiment Wagner et l’opéra ne doivent pas être exclus du réseau des mélomanes wagnériens. Pour faire bouger les choses, elle propose d’impulser la création de cercles junior en s’appuyant sur les universités. »
Premier cercle français
À l’automne dernier, Mathieu Schneider décide de tenter l’expérience à l’Unistra, en profitant du bicentenaire de la naissance de Wagner célébré en 2013. Il prend contact avec les étudiants, via les associations du domaine culturel, pour recruter des étudiants intéressés : un groupe de 25 étudiants de tous horizons se constitue et participe à deux temps forts, suivis chaque fois d’un débat d’idées. Il s’agit du premier cercle junior français sur les sept existants dans le monde (trois en Allemagne, deux en Angleterre, un à Singapour).
Le cercle va se constituer en association en juin. « Le service culturel a impulsé sa création, aidé à son lancement, maintenant il doit vivre sa vie comme une autre association étudiante, précise Mathieu Schneider. Les liens sont bien sûr étroits avec le cercle Richard Wagner de Strasbourg, qui compte 1200 membres. L’idée est de développer la solidarité entre jeunes et anciens amateurs d’opéra en général et de Wagner en particulier : des bourses pourraient être financées par les anciens pour permettre à des jeunes du cercle junior assister à un opéra à Bayreuth, où les places sont très chères. »
D’ici la fin de l'année universitaire, les membres du cercle junior pourront assister à la répétition générale de Don Giovanni à l’Opéra de Baden-Baden.
Le web propose de nouveaux moyens d’apprendre en utilisant des plateformes de travail et d’échange collaboratifs. Celles-ci connectent les apprenants avec les enseignants, les apprenants entre eux et permettent des interactions en temps réel. L’apprentissage collaboratif y est encouragé, les moyens d’apprendre multipliés, les échanges et les rencontres favorisés. Des enseignants et des universités ont ainsi ouvert leur cours au plus grand nombre.
Petit tour d’horizon de l’émergence d’un nouveau paysage de l’apprentissage sur Internet avec les chroniqueurs du master communication scientifique de l’Université de Strasbourg.
Clive Chin est venu à Strasbourg lundi 22 mars 2013 et a partagé à l'université son amour du reggae et du dub, ses nombreuses anecdotes qui illustrent l'histoire des musiques populaires jamaïcaines ainsi que certains des enregistrements tirés de sa collection personnelle.
Né en 1954, Clive Chin fut l'assistant de son père d'abord dans son magasin de disques, Randy's Record Store, puis dans son studio d'enregistrement, le légendaire Randy's Studio 17. Il eut l'occasion d'y travailler avec des artistes aussi importants que The Wailers, Dennis Brown, Lee Perry ou Black Uhuru. Ses enregistrements de 1973 avec Augustus Pablo sont généralement considérés comme l'acte de naissance de la musique dub.
Saïd Hasnaoui, chef de projets au Jardin des sciences et coordinateur de la Fête de la science au niveau du Bas-Rhin, cherche à stimuler les scientifiques pour cet événement qui se déroulera du 9 au 13 octobre 2013. Le partage de la culture scientifique est incontournable pour ce passionné qui tient à la transmettre au plus grand nombre.
Comment se déroule une demande de participation à la Fête de la science ?
Nous diffusons chaque année un appel à projets auprès des laboratoires. En fonction des propositions des volontaires, nous relançons les disciplines qui ne sont pas ou peu représentées pour les encourager à participer. Les laboratoires de chimie, physique et biologie sont en général les plus enthousiastes. La Fête de la science qui n’a lieu qu’une fois par an, est un événement festif, source de plaisir pour le grand public et pour le chercheur. Y participer est très formateur et permet d’avoir un retour sur les travaux en cours. Elle remplit les chercheurs, selon leurs propres dires, « d’énergie positive ». La plupart ont hâte d’être à l’année suivante!
Quelles sont les difficultés que vous rencontrez lors de l’organisation de ce type d’événement ?
Les difficultés sont surtout logistiques. Les demandes des différents porteurs de projet doivent être satisfaites. Nous devons leur fournir de bonnes conditions d’exposition en leur accordant assez de place pour les stands et du matériel.
Les attentes du public sont parfois compliquées à satisfaire… L’année passée, il a fallu fermer les portes le dimanche après-midi et refuser du monde pour cause de trop forte affluence. Cela ne doit plus se reproduire cette année. Nous espérons donc recevoir encore plus de projets afin de développer l’offre pour satisfaire la demande de plus en plus importante du public pour la culture scientifique.
L’organisation de la Fête de la science nécessite beaucoup d’énergie ; c’est un travail important de coordination et de proximité, tout doit être optimal. Nos forces sont mobilisées jusqu’au dernier moment. Le vendredi matin quand les portes s’ouvrent, c’est extraordinaire de voir les enfants courir pour découvrir les stands, de les voir heureux ainsi que leurs parents !
D’où vous vient cette passion pour les sciences ?
Je suis originaire de Montbéliard où se trouve le Centre de culture scientifique, technique et industrielle « Le Pavillon des sciences ». A 17 ans, j’ai commencé à y animer des stands et animations grâce à mon professeur de sciences physiques. Ensuite, je suis allé à Grenoble poursuivre mes études et me destinais à la recherche en physique mais j’ai réalisé que la culture scientifique et technique (CST) me passionnait davantage. En rendant accessible des connaissances au plus grand nombre, on fait soi-même des connexions entre différentes disciplines et on se construit.
Je suis donc parti au Québec où la politique en CST est différente. L’implication des chercheurs dans la culture scientifique a été un de mes sujets d’études au sein de l’Association francophone pour le savoir (Acfas). Lorsque j’ai vu qu’un poste était vacant à l’Université de Strasbourg, j’y ai immédiatement postulé. Cette université est en effet pour moi la référence française et sans doute une référence mondiale pour sa politique de culture scientifique.
Propos recueillis par Caroline Faltot, master Communication scientifique
Pour la saison printemps-été 2013, qui débutera avec les Journées portes ouvertes les 4 et 5 mai 2013, le Jardin botanique propose au public plusieurs temps forts placés sous le signe de la fleur.
« Pétales, pistil, étamines… une histoire de fleur ! »
Une exposition sur la fleur au sens botanique : définition, pollinisation, évolution des plantes à fleurs... Elle présente également des objets et panneaux anciens de la collection d’enseignement de la Faculté des sciences de la vie.
Les BB végétaux : une installation de Michaël Cros
Il s'agi d'un parcours d’œuvres végétales dans le Jardin botanique et la serre tropicale ponctué par de drôles de poupons engazonnés. Cette installation est le fruit de la collaboration avec le Théâtre jeune public de Strasbourg (TJP) autour du spectacle « Corpus sanum » du chorégraphe et plasticien Michaël Cros en résidence à Strasbourg.
Les journées portes ouvertes samedi 4 et dimanche 5 mai de 14 h à 19 h
Les autres évènements de la saison
Informations pratiques
Renseignements et réservations auprès du Service d’action pédagogique au 03 68 85 18 86
Site internet du Jardin botanique
Le Jardin des sciences ouvre les portes des musées et collections de l’Université de Strasbourg dans le cadre de la Journée internationale des musées et de la neuvième Nuit européenne des musées le samedi 18 mai à partir de 19 h 30.
Organisée par le Conseil international des musées (Icom), la Journée internationale des musées a pour thème, cette année, "Musées (mémoire + créativité) = progrès social". Hugues Dreyssé, directeur du Jardin des sciences et président du comité international pour les musées et les collections universitaires (UMAC) de l'Icom, nous précise que « ce comité, relativement neuf au sein de l'Icom, joue un rôle essentiel dans la valorisation et le travail en réseau des collections universitaires mondiales ». « Des musées d'Oxford qui comptabilisent 2,2 millions de visiteurs au petit musée universitaire Frank-Gehry, c'est toute la diversité des collections universitaires qui sont concernées, et particulièrement à Strasbourg », ajoute le vice-président Ressources humaines. Anne-Catherine Robert-Hauglustaine, directrice adjointe du Jardin des sciences, préside quant à elle, le comité international pour les échanges d'expositions de l'Icom. Ce comité regroupe 400 membres qui travaillent très concrètement à la production d'expositions temporaires itinérantes ; la dernière réalisation soutenue par ce comité est la création d'une exposition "Imagining the Balkans" par douze pays des Balkans, inaugurée à Ljubjana début mars 2013. De quoi susciter des vocations.
Pour le Nuit européenne des musées* coordonnée à Strasbourg par le Jardin des sciences, de belles découvertes seront proposées à travers un parcours muséal exceptionnel ponctué par des spectacles, créations musicales, chorégraphiques ou encore théâtrales dans les jardins universitaires, à l'Institut de géologie, au Musée de sismologie et de magnétisme terrestre, au Jardin botanique, au Musée des moulages, dans les collections de l'herbier, au Planétarium et à l'Institut d'anatomie normale.
« Je ne suis pas là pour mourir », texte de la théologienne Marion Muller-Colard, sera librement interprété par le contrebassiste, Jean-Daniel Hégé, et la comédienne et chanteuse, Jeanne Barbieri, jeudi 23 mai au Palais universitaire.
Ce concert-récit est organisé dans le cadre d’une réflexion globale sur la fin de vie, initiée par la Faculté de théologie protestante, avec le colloque « Spiritual care et fin de vie », et soutenue par le Service universitaire d'action culturelle et la Fondation Saint-Jean.
Cette lettre d’un malade incurable médite à la fois sa situation de mourant et celle de ses destinataires. Les compositions et les improvisations de Jean-Daniel Hégé s’articuleront avec le récit, en introduisant et en prolongeant le texte. Récit et musique s’entremêleront, et par moment, la narratrice deviendra musicienne, le contrebassiste narrateur. « Il s’agit principalement d’inscrire ce récit dans un espace temporel. Notre conviction est que si ce texte est présenté de manière juste, enchâssé dans un espace structuré musicalement, sa signification profonde sera entendue. »
Gariste Gatené, collectif artistique d'étudiants de l'Université de Strasbourg, expose ses travaux, résultats d'une résidence artistique de deux ans à Berlin, dans l'aula du Palais universitaire du 6 au 22 mai. Une seconde partie de cette exposition se tiendra place d'Austerlitz, en partenariat avec la Ville de Strasbourg, du 20 mai au 2 juin.
En partenariat avec l'Université et la Ville de Strasbourg, le collectif d'étudiants vous propose de venir découvrir leurs sculptures et autres installations fraîchement importées de Berlin. Attention, cette offre est limitée dans le temps et circonscrite à deux lieux : aula du Palais Universitaire de Strasbourg, du 6 au 22 mai et place d'Austerlitz du 20 mai au 2 juin. Vous serez satisfaits ou dérangés. Laissez-vous envahir par de nouvelles sensations (l'ennui, l’extase, la fureur, l'incompréhension, le vertige, la surprise, la déception, etc.).
« La mythique chevauchée d'Alexandre Le Grand Public de Macédoine »
Aula du Palais Universitaire de Strasbourg, du 6 au 22 mai 2013.
Vernissage et rencontre avec les artistes mardi 7 mai à 18 h.
« Zeit Gewinnen – La synchronisation des montres – Money Time »
Place d'Austerlitz de Strasbourg, du 20 mai au 2 juin 2013.
Les artistes seront présents ponctuellement sur le lieu d'exposition.
Plus d'informations sur le site du collectif.
Le Jardin des sciences de l'Université de Strasbourg et l'Association muséologie et médiation scientifique (AMMS) présentent l'exposition Inouïe jusqu'au 26 mai 2013 au Musée zoologique de Strasbourg.
Réalisée par l'AMMS qui regroupe les étudiants du master Ethnologie et anthropologie spécialité Muséologie-patrimoines immatériels et collections de l'Université de Strasbourg, l'exposition Inouïe a pour dessein de faire découvrir sous un jour nouveau l'univers sonore quotidien à travers un parcours ludique fondé sur l'empirisme et la pluridisciplinarité.
La première conférence TEDx, TEDxStrasbourgUniversité, intitulée "NecPlusUltra? Franchissez les frontières, interrogez vos limites!", se déroulera samedi 4 mai à 13 h 30 au Collège doctoral européen. Une première à Strasbourg.
Des intervenants - étudiants, doctorants et professionnels, engagés dans leurs projets respectifs - porteront sur scène leurs expériences de confrontation directe avec la limite. Un partage d’idées inédites sur un mode synthétique, dynamique et innovateur. Un événement pour franchir ensemble les frontières, en interrogeant collectivement nos limites !
Organisée par Lucas Juhel, étudiant à l'EM Strasbourg, et Giovanna Laterza, doctorante en littérature latine à l'Université de Strasbourg, cette conférence a pour objectif, entre autres, de montrer au public comment les idées issues de la recherche universitaire sont pertinentes pour notre quotidien et pour notre évolution en tant que communauté.
La conférence TED est un concept né aux Etats-Unis il y a 25 ans et qui rassemble chaque année, en Californie, des esprits brillants avec une seule ambition : propager des idées innovantes pour réinventer le monde de demain.
Dans le cadre de l'Année internationale de la coopération dans le domaine de l'eau, le Jardin des sciences organise un cycle de conférences intitulé "H2O" pour mai et juin 2013.
La première conférence portera, jeudi 16 mai, sur les 20 000 ans d'histoire de l'eau en Alsace. S'en suivront d'autres notamment sur les solutions pour l'accès à l'eau potable en France et dans le monde (23 mai) et sur les pesticides, l'agriculture et les risques pour les milieux aquatiques alsaciens (30 mai). Le cycle se terminera avec un zoom sur les eaux usées dans le cycle de l'eau dans la Communauté urbaine de Strasbourg (6 juin).
Ces rencontres-débats avec des scientifiques sont organisées pour le grand public et libres d'accès, les jeudis à 18 h à l'amphithéâtre Fresnel de l'Institut de physique (3 rue de l'Université à Strasbourg).
Voir le programme complet.
Autour des thèmes de l’appartenance, de l’exil, de l’engagement et de l’amitié, Pinar Selek dépeint, dans son premier roman La maison du Bosphore, une jeunesse qui cherche sa voie entre la Turquie d’hier et celle de demain.
Octobre 1980. Istanbul retient son souffle alors que les militaires envahissent les places au passage du dictateur. Elif, quinze ans, confie à son ami Hasan ses inquiétudes sur le sort de son père, un pharmacien emprisonné pour ses idées politiques. Hasan, lui, ne songe qu'à la nouvelle vie qui l'attend au Conservatoire de musique de Paris. Sema vit avec sa mère à Yedikule mais rêve que son amoureux, Salih, un apprenti menuisier d'origine kurde, l'emmène loin de ce quartier populaire.
Année après année, nous suivons le parcours de ces quatre jeunes gens : l'engagement d'Elif dans un groupuscule d'extrême gauche, l'amitié fervente d'Hasan pour Rafi, un musicien qui l'entraîne sur les routes d'Europe, l'émancipation de Sema, l'auberge-refuge que bâtira Salih.
A travers ces quatre portraits et d'autres personnages évocateurs (artisans, sans-abris, prostituées, militants), elle brosse le tableau de la Turquie depuis le lendemain du coup d'État jusqu'au terrible tremblement de terre d'août 1999.
Pinar Selek, La maison du Bosphore, Paris, Ed. Liana Levi, avril 2013.
Marie-Jo Thiel, professeur à la Faculté de théologie catholique de l'Université de Strasbourg, a publié deux nouveaux ouvrages fin mars sur l'éthique face à la souffrance humaine et la vieillesse.
Dans le premier ouvrage, intitulé Au nom de la dignité humaine1, Marie-Jo Thiel propose un essai concis, à partir d'exemples concrets, pour nous aider à construire une position éthique face à la souffrance humaine. Son expérience de médecin, de chercheur, de conseil politique lui donne une grande autorité. Elle s'interroge également sur l'apport de la foi et de la théologie chrétienne au concept de dignité.
Face au pouvoir biomédical, aux nouvelles technologies, que peut-il rester d'une permanence de l'être humain ? Quelle dignité préserver dans la maladie, la souffrance ? Quelles sont les définitions juridiques de la dignité humaine ? La dignité, "exigence plus vieille que toute formulation philosophie" selon Paul Ricœur, convoque les notions de décence, de reconnaissance, de démaîtrise... Et interroge la tentation de s'ériger en maître de la vie et d'imposer par exemples des remèdes, des technologies.
Dans son second livre, Faites que je meure vivant ! - Vieillir, mourir, vivre2, l’auteur dresse le constat et s’interroge : sait-on vieillir ? quels sont les défis éthiques que pose la vieillesse aujourd’hui ? Comment bien vieillir et avancer dans sa vie malgré la faiblesse, la maladie, la dépendance, l’approche de la mort ? Elle aborde les grandes questions d’Alzheimer, des soins palliatifs, jusqu’au bouleversement de la notion de temps. Son livre s’adresse aux soignants, au monde médical, mais aussi aux familles, aux personnes engagées dans les problématiques liées au vieillissement.
1« Au nom de la dignité de l'être humain », Marie-Jo Thiel, Paris, Ed. Bayard, paru le 28 mars 2013.Deux ouvrages viennent de paraître sur la diversité culturelle dans la collection Médias, sociétés et relations internationales dirigée par Michel Mathien, enseignant au Centre universitaire d'enseignement du journalisme (Cuej) de Strasbourg.
Dans la collection Médias, sociétés et relations Internationales, trois ouvrages abordaient la question des minorités culturelles historiques dans les pays latins d’Europe, en Afrique et dans les Pays d’Europe centrale et orientale, L'expression de la diversité culturelle : un enjeu mondial apporte des regards complémentaires sur l’Europe, les continents américains et l’Asie. En s’inscrivant dans un cadre « régional », à la fois historique, politique, linguistique, démographique, juridique et culturel, les observations et réflexions proposées aux lecteurs interrogent les perspectives de la mondialisation de l’information, de la communication et des industries culturelles en général, et se placent dans la dynamique du progrès dans la compréhension des peuples et des cultures dont témoigne l’Unesco.
En traitant de la problématique de l’expression de la diversité culturelle en Europe centrale et orientale, le deuxième ouvrage, intitulé L'expression médiatique de la diversité culturelle en Europe centrale et orientale, se situe dans l’esprit de la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles (2005) de l’Unesco. L’angle d’approche des contributeurs est celui de l’expression des minorités reconnues au sein de ces États à travers leurs médias généralistes ou l’existence de médias appropriés dans leurs langues spécifiques. La période prise en compte est celle qui suit leur accès à la démocratie depuis la fin du Bloc soviétique symbolisée par la chute du Mur de Berlin le 9 novembre 1989.
• 8 793 inscrits
• 20% des effectifs de l'université
• 43% issus de pays européens
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