Quentin Naegelen, étudiant en master Marketing opérationnel et stratégique à l’EM Strasbourg, est guitariste et manager du groupe HolyTree. S’il rêve de vivre un jour de sa musique, il garde tout de même les pieds sur terre.
Si ce sont ses frères qui l’ont initié à la guitare il y a huit ans, il tient ses influences musicales – Pink Floyd, Neil Young, les Rolling Stones, etc. – de son père. « Au début, je ne jouais que des reprises de Souchon, Cabrel, pour animer les soirées entre amis ; mais, j’ai toujours eu très envie de jouer en groupe », confie Quentin. Après quelques essais peu convaincants dans des groupes déjà formés, il pense à monter le sien. Et sa rencontre avec Julian, étudiant en capacité de droit à l’Université de Strasbourg, en 2011 est alors décisive. À cette époque, ils ne se connaissent pas mais jouent tous les deux de la guitare et ont les mêmes goûts musicaux.
Ils s’entourent alors d’un bassiste, Matteo, d’un batteur, Benjamin, et d’une chanteuse, Olivia, et montent HolyTree en juin 2011. « Nous avons choisi ce nom pour signifier le côté sacré de nos influences et le symbole de l’arbre en perpétuelle évolution », explique Quentin. Le groupe de rock progressif et alternatif a, en effet, débuté avec des compositions plus jazzy pour s’adapter à la chanteuse. Celle-ci les ayant quittés pour faire ses études en Allemagne, Quentin et Julian se sont mis au chant. Et HolyTree, qui a depuis accueilli un saxophoniste, Thibaud, étudiant en dentaire, propose désormais des compositions de la ballade aérienne au rock punchy sur les scènes du Grand Est. Quentin est souvent à l’origine des textes quand Julian les met en mélodie.
Un premier album et un désir de tournée
Quentin coordonne aussi tout ce petit monde depuis le début. « J’entreprends la plupart des démarches : j’ai créé une association de promotion artistique, Maison Mer Production, pour chapeauter le groupe, je cherche les salles, organise les répétitions, les concerts, gère les relations presse, etc. », affirme le jeune autodidacte de 24 ans, qui assure avoir ainsi développé un grand sens de l’organisation. Grâce à sa persévérance et à son réseau, le groupe a pu enregistrer un premier album de cinq titres, Alpha to Omega, sorti début 2013. « Nous avions même prévu de louer un van pour partir en tournée en juillet, confie Quentin un peu rêveur, mais j’ai des stages obligatoires à faire donc celle-ci sera sûrement reportée à plus tard. » À défaut, ils participeront aux tremplins du Basse-Zorn’Live le 4 mai à 20 h Lorentzen (près de Sarre-Union) et au Festival rock du Gibus à Paris le 18 mai. Ils ont aussi postulé auprès du Service de la vie universitaire pour participer aux concerts de rentrée. « On essaie de se faire connaître mais nous faisons de la musique par plaisir avant tout. Si c’est notre rêve à tous d’en vivre un jour, aujourd’hui c’est utopique. D’ailleurs, aucun de nous n’a lâché ses études ou son travail ; on garde les pieds sur terre. On est super satisfait, on s’éclate, c’est l’essentiel ! »
Floriane Andrey
Nom de code
ESN Strasbourg pour Erasmus student network. Cette association, créée en juin 2010 par des étudiants de retour d’échanges, est une section locale du réseau International exchange Erasmus student network (IxESN) qui œuvre pour l’accueil des étudiants internationaux dans plus de 350 villes dans 36 pays d’Europe.
« Le logo de l’association reprend les couleurs et l’étoile du réseau international. La particularité locale est d’avoir repris la cigogne dans le logo, à la fois comme symbole de notre région, mais aussi parce que c’est un animal migrateur qui évoque donc les voyages, ce qui colle bien à l’image de l’association », explique Benoit Ribon, président d’ESN Strasbourg.
Raison d’être
« C’est très perturbant d’arriver dans un pays où il y a tout à apprendre et tout à découvrir », confie Benoit Ribon, en toute connaissance de cause puisqu’il est parti en Erasmus à Oulu en Finlande puis en stage à Stuttgart. L’association a donc pour objectif d’accueillir et de favoriser l’intégration des étudiants internationaux mais aussi de promouvoir la mobilité étudiante internationale.
Lieu de rassemblement
L’association n'a pas encore de local pour lui permettre d'accueillir les étudiants internationaux mais effectue des permanences au local de la Direction des relations internationales (bâtiment Patio, 3e étage) les mercredis entre 12 h et 14 h. Il est aussi possible de rencontrer ESN Strasbourg lors des événements qu’elle organise régulièrement. Mais « nous sommes désespérément à la recherche d’un local car c’est difficilement gérable ainsi, ça nous restreint dans nos missions d’accueil des étudiants internationaux ; comme nous ne sommes pas une association de filière, nous ne savons pas trop vers qui nous tourner », lance Benoit.
Membres
Une quinzaine de membres – dont les quatre personnes du bureau – s’impliquent dans l’organisation des événements. « Toutes les bonnes volontés sont les bienvenues », précise le président en perpétuelle recherche de membres. Et l’association compte près de 400 adhérents. « Il s’agit principalement d’étudiants Erasmus mais nous accueillons aussi des étudiants internationaux qui ne sont pas en situation d’échange ; il faut savoir que plus de 1000 étudiants étrangers arrivent à Strasbourg chaque année », explique Benoit. La carte d’adhérent, d’une valeur de cinq euros, leur donnent le droit de participer à toutes les activités d’ESN et leur offre de nombreux avantages.
Actions
Pour mener à bien sa mission, ESN Strasbourg organise diverses manifestations multiculturelles tout au long de l’année : soirées, visites, voyages, café des langues (un lundi sur deux à La Taverne française), etc. « Il s’agit toujours d’aider les étudiants à découvrir la région, les faire se rencontrer, créer des échanges », indique Benoit.
Et en ce mois de l’Europe, l’association a prévu de nombreuses animations. Elle sera présente à la journée de la mobilité à la Maison de la région ce 4 mai. Elle organise la projection de L’Auberge espagnole le 7 mai et des Poupées russe le 13 mai au cinéma l’Odyssée. Un barbecue international, ouvert à tous, se tiendra au Baggersee le 8 mai. Et pour finir, ESN Strasbourg sera présente aux Journées portes ouvertes du Parlement européen le 19 mai.
Le mot du président
« J’encourage tous les étudiants à tenter l’expérience de la mobilité. Ça apporte énormément en termes d’ouverture d’esprit, de connaissances du monde, etc. C’est une expérience unique qui peut se prolonger en s’engageant dans l’association pour enrichir ses compétences. »
Contact
ESN Strasbourg – 12 rue des Corroyeurs – 67200 Strasbourg
Site web – courriel – page Facebook
Certaines activités sont devenues tellement courantes dans notre quotidien que nous n'y prêtons plus guère attention. Pourtant quelques pratiques et un peu de bon sens permettraient d'économiser des ressources, c'est le cas notamment pour la messagerie.
Aujourd'hui cet outil de messagerie, anodin et "gratuit" nous permet de communiquer plus facilement. Gratuit ? Pas vraiment, en effet l'outil nous semble gratuit parce que nous ne payons pas à chaque utilisation mais il y a bien un coût.
Faisons l'analogie avec l’électricité, tout le monde est conscient qu'éteindre la lumière permet de réduire la consommation. Avons-nous besoin de conserver la totalité de nos courriers depuis la création de notre compte ? Dormiriez-vous dans un amoncellement de messages publicitaires et autres brochures accumulés depuis plusieurs années ? Relisez-vous des mails vieux d'il y a dix ans ? Pour la messagerie électronique, il en est de même.
Il est peut être nécessaire de conserver certains messages très importants mais la plupart des messages peuvent être supprimés ou archivés. Ce travail de tri peut vous sembler fastidieux mais s'il est fait régulièrement, il ne vous prendra pas beaucoup de temps. Qui plus est le fait de réduire le nombre de messages permet de retrouver plus facilement et plus rapidement les messages importants.
Bien que la messagerie permette l'envoi de fichier, elle n'en est pas pour autant un espace de stockage. Quelques gestes simples vous permettront de réduire le coût de cette messagerie dont la pratique régulière deviendra, espérons-le, un automatisme :
L'hiver est fini, c'est le moment de procéder au ménage de printemps et de nettoyer votre boîte.
Les étudiants de la filière Activités physiques adaptées et santé (APAS) de la Faculté des sciences du sport de Strasbourg collaborent avec le service de néphrologie et hémodialyse du Nouvel hôpital civil de Strasbourg pour permettre à des personnes dialysées de participer aux courses de Strasbourg.
Le but de ce projet est de permettre à des personnes dialysées péritonéales, hémodialysées ou ayant subi une transplantation de participer à un évènement sportif médiatique de grande ampleur en Alsace, que sont les courses de Strasbourg les 11 et 12 mai 2013. L’objectif pour les patients étant de se surpasser et de démontrer leurs capacités physiques dans un esprit de convivialité. Ce sera aussi l'occasion de promouvoir la formation APAS qui se chargent de ré-entraîner les patients.
Le Cercle des économistes et France Culture ont lancé un concours national à destination des étudiants âgés de 18 à 28 ans. Pour participer, les candidats doivent répondre par écrit à la question « Comment les jeunes d’aujourd’hui, acteurs de la société de demain, imaginent-ils le monde dans lequel ils aimeraient vivre à l’horizon 2020 ? » et envoyer leur texte au plus tard le 10 mai 2013 sur le site des Rencontres économiques.
Coproduit par le Cercle des économistes et France Culture, ce concours est organisé avec le soutien du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et en partenariat avec la Conférence des présidents d’université (CPU), la Conférence des directeurs des écoles françaises d'ingénieurs (Cdéfi), la Conférence des grandes écoles (CGE), le Cnous, l’Agence du service civique, Animafac et le Festival d’Aix-en-Provence.
L’objectif de cette initiative est de recueillir les idées des étudiants, de connaître leurs attentes pour les années à venir et de permettre aux 100 finalistes de venir débattre aux Rencontres économiques d’Aix en Provence organisées les 5, 6, et 7 juillet 2013. Occasion unique de participer en tant qu’acteurs à l’ensemble des sessions qui se dérouleront autour du thème « le choc des temps : l’économie mondiale, entre urgences et long terme ».
Ce mardi 30 avril, les étudiants en licence de Design à la Faculté des arts de Strasbourg ont organisé un défilé de mode au Palais universitaire. La manifestation a débuté par une performance d'étudiantes (photo de gauche). Elle a été immortalisés par des dessinateurs et des photographes de la faculté. Puis le défilé (photo au centre) a été apprécié par un nombreux public essentiellement estudiantin (photo de droite).
• 8 793 inscrits
• 20% des effectifs de l'université
• 43% issus de pays européens
Envoyez votre info à lactu@unistra.fr avant le mercredi 22 mai midi pour une parution le vendredi 24 mai 2013.
Consultez les dates des prochains numéros.